Le blog de helenedurio.over-blog.com

Bonjour les amis !!!

Ca va chez vous ? Pas de casse ? Pas de problème avec les orages ? J’espère !!!!

Ici l’orage a été juste au-dessus de nous.

Nous avons l’habitude, dès les premières menaces, de tout débrancher dans la maison, contacts électriques et téléphoniques.

Nous étions à table, il faisait presque nuit, plus de lumière. Nous avons pris nos petites lampes frontales, mais la mienne est à manivelle que je dois sans cesse tourner si je veux de la clarté. Mais comme je sais aussi où est ma bouche et que nous ne mangions pas de poisson plein d’arêtes mais une bonne soupe sans pépins, pas de problème…

Quand une déflagration m’a fait sauter en l’air, si bien que j’ai fait valser mon assiette au travers de la table ! Heureusement l’assiette était vide et n’est pas tombée.

Nous étions tous deux debout quand sont arrivées deux autres coups de foudre à travers la prise du téléphone.

C’est impressionnant, d’autant plus que j’ai une relation très intime avec la foudre, en ai été proche plusieurs fois et touchée deux fois !

Nous pensions en plus que la ligne de téléphone devait être grillée !

Mais non, tout fut bien qui se finit bien !

Cette nuit sans que l’orage ne soit sur nous, la ligne électrique fut coupée, sans doute un problème aux centraux, si bien que ce matin les congélateurs étaient en alarme et mon stupide réfrigérateur qui coule de partout malgré la boîte que j’ai mise sous le trou à cet effet,(et qui n’était pas pleine !) avait inondé tout autour.

Pas grave et j’espère que pour vous ce ne fut rien de plus.

Mais peut-être voudriez-vous la suite de l’histoire ?

Alors je vous laisse la lire, et après la vaisselle je retourne à notre couture à quatre mains, j’y prends goût !!!

Je vous souhaite à tous une excellente journée ! Avec mes amitiés !

LN

LES PETITES LUMIERES DE LA NUIT…-3-

Il fait nuit.

-« Debout, Debout ! Le hibou a sonné ! Il est temps d’y aller ! »

Ils se frottent les yeux pendant que moi, l’ainé et responsable par voie de conséquences, je vérifie l’équipement…

Une pelote de liseron tressé solide, Une fleur de courgette remplie d’eau fraiche et fermée hermétiquement par un brin d’herbe, un sifflet d’appel au secours à ultra son entendu uniquement par nos confrères, trois pétales de rose car ils oublient toujours leur mouchoir…

Bref tout est prêt, en avant…

L’un derrière l’autre, éclairés par la lune ronde, nous grimpons la colline pour rejoindre le rocher de la Bouteillaire au-dessus du village de Beynat. Je ne suis pas certain de l’orthographe du nom du rocher, je n’ai fait que l’entendre. Nous avions laissé notre vaisseau là-haut, point de départ du vol.

Ce roc est le plus haut et le plus dégagé. Il y a aussi le Rocher de Beynat mais il est plus en arrière alors que celui-ci donne tout de suite dans le vide. En prenant bien le courant aérien, nous devrions pouvoir faire un beau voyage !

Nous prenons nos places, nous installant confortablement sur cette longue feuille et nos cœurs ont un élan de reconnaissance envers ce gros arbre généreux qui nous l’a offerte.

-« Prêts ?

-Prêts… ! »

Une poussée de nos reins, quelques balancements bien orchestrés et ça y est, nous décollons, nous planons !!!!

En dessous de nous la route qui va de Barsanges à Ambrugeat se déroule comme un mince serpent qui luit, argenté dans l’ombre des arbres qui la bordent.

Tout autour les cranes ronds, crépus et sombres des chênes et des hêtres de la forêt piquée des pointes de sapins noirs, mais tous profilés de fil d’or pale par l’astre des nuits ! Silhouettes chinoises, ombres mouvantes et fantastiques, contre lune magiques, nos cœurs résonnent dans nos poitrines comme de joyeux tambours, l’émotion nous coupe la parole, seul partage : quelques gémissements de plaisirs et d’admiration… Que c’est beau !

Quand tout à coup…

-« Mais qu’est-ce ?...Que voit-on ?

-Je ne sais pas, c’est du coté du Rio semble-il…

-Crois-tu que nous sommes allés déjà si loin ?
-Oh cela volait bien, j’en suis même décoiffé !

-Ce n’est pas une preuve, tu l’es toujours ! Se moque ma sœur !

-Oh ça va ! Mais cela ne nous dit pas ce que sont ces drôles de lumières !

-On va voir ?

-Ce n’est peut-être pas prudent !

-Ecoute. Je n’ai jamais entendu parler de chat avec un œil bleu et un œil violet !!! Que pouvons-nous craindre ? On dirait des petites chapelles illuminées…

-Très juste grand frère, c’est tout à fait ça… Bon, que faisons-nous ? On y va ?

-On y va… »

A suivre et à demain si vous le voulez bien !

LN

Bonjour chers amis !

Pour vous parler de nos jolies petites lampes j’ai pensé à cette petite histoire, tellement naïve qu’elle pourrait être interdite aux plus de cinq ans, mais n’avons-nous pas gardé nos âmes d’enfants ? Et peut-être pouvons nous la partager avec nos petits ou arrières petits enfants en visite ?

Seulement comme elle est longue, je vais la « poster » en plusieurs morceaux (4). Rassurez-vous vous arriverez à soutenir le suspense de l’action !

Mais vous pouvez également passer et ne pas lire si mes longs bavardages vous ennuient ! J’en aurai de plus courts une autre fois !

La seule chose importante est que vous alliez bien, tous, que votre santé soit bonne, que vous arriviez à trouver un endroit frais pour ne pas souffrir de trop de chaleur, que vous ayez de l’eau pure à boire souvent par petite quantité, et que vous puissiez ainsi vous renverser sur votre fauteuil en soufflant :

Que c’est BON LA VIE !!!!

Avec ma tendresse pour tous…
LN

LES PETITES LUMIERES DE LA NUIT….

Il faisait sacrément chaud, nous n’avons pas l’habitude de sortir sous un tel soleil, mais il fallait absolument que nous trouvions un nouveau véhicule si nous ne voulions pas rater le grand vol de cette nuit.

Ce soir la lune sera pleine et nous aurons toutes les facilités pour réussir notre exploit, mais la dernière fois que nous avons tenté l’expérience, nous avons eu un stupide accident et nous n’avons plus rien pour nous déplacer.

Pardon, je vous parle de vol, n’allez pas croire que nous sommes des voleurs, nous sommes plutôt des… « Volants » !

Ma sœur, mon frère et moi devons exécuter nos premiers vols pour passer l’examen de passage au monde adulte.

Il ne nous reste plus qu’à partir en quête de notre vaisseau…

C’est encore Monsieur Le Châtaignier qui pourrait nous rendre le meilleur service, mais c’est déjà lui que nous avions sollicité, j’ai peur qu’il refuse de recommencer… Mais qui ne tente rien n’a rien… Courage…

Nous voici tous les trois avançant dans la lumière qui nous plante ses petits couteaux dans le cerveau à travers nos yeux, nous n’y sommes pas accoutumés. Heureusement M. Le Châtaignier a une ombre large et apaisante.

Nous lui présentons timidement notre requête et gentiment il nous répond :

-« Mes enfants, vous tombez bien mal ! Regardez dans quel état je suis. Ce printemps qui n’en finissait pas de geler a tué la plupart de mes doigts et même de mes bras. Il n’y a plus que cette touffe, dirigée vers la « Ribière Blanche de la Saulière » qui soit encore vivante. Ne pourriez-vous pas vous adresser ailleurs ?

- Bien sûr Monsieur Le Châtaignier, nous le ferons si vous ne pouvez pas nous aider, mais vos feuilles sont les meilleures ! Elles sont solides tout en étant légères, bien nervurées régulièrement ce qui leur assure une bonne solidité, elles sont longues et nous pouvons nous installer tous les trois sans être obligés de nous écraser l’un contre l’autre, et les dentelures des bords qui permettent un léger tourbillon d’air à chaque pointe assurent une stabilité hors pair . Mais nous comprendrions, Monsieur, que vous ne vouliez point sacrifier une de vos feuilles quand il vous en reste si peu…

- Vous êtes gentils. Allez, une de plus, une de moins, cela ne me fera pas grosse différence, allez vous en choisir une et prenez en soin !

-Oh merci Monsieur !

-Bon voyage et soyez prudent !

-Nous le serons ! Merci et au revoir ! »

Avec joie nous nous glissons sur cette branche unique et cueillons doucement, respectueusement, la plus belle feuille que nous trouvons.

Fiers de notre acquisition, nous retournons dans notre tanière, tenant notre feuille à trois au-dessus de nos têtes comme pour un portage de kayak.

A suivre…

A demain les amis !!!!Si vous le voulez bien!

LN

Bonjour les amis !!!

Un samedi bien occupé après une journée passée à Ussel à la recherche des boîtes de nourriture pour chats et…D’une toile pour refaire celle de la tonnelle détruite à nouveau par les félins après tout un après midi de travail pour moi à poser des pièces. Je suis assez fière de vous dire qu’ils ont déchiré ENTRE mes pièces de rideau qui, elles, ont tenu ! Deux grands draps rouges devraient faire affaire, à moi la corvée de coudre tout cela pour que les chats puissent s’amuser !!! GRRR

Donc aujourd’hui je dois rattraper le temps perdu, ménage, lessives y compris les draps rouges qui vont rétrécir et qui déteignent… Congeler les tranches de bœuf cuit…Faire du pain…et j’en passe.

Aussi mon texte sera-t-il court, pardonnez-moi, mais sachez que j’ai une petite histoire en route, très très naïve. Ca ! Vous pourrez la lire aux petits sans risque !

Aujourd’hui je vous mets une photo avec ma reconnaissance pour l’aide que nous ont apporté les enfants.
En effet vous devinez le travail :

Sortir la grosse cuve à eau du J9 et la descendre à l’étage inférieur alors qu’aucun chemin ne s’y prête !

Stéphane tenait la corde autour de son dos, Elodie tirait sur la chaine passée dans la poulie, Michel guidait, poussait, tirait pour guider cette masse dans le bon sens, Axelle prenait des photos et Morgane que vous ne voyez pas là, les encourageait…avant d’aller recoudre son caleçon.

Moi je m’occupais du déjeuner en retenant mon souffle : « Pourvu que tout se passe bien, que personne ne se fasse de mal »

Et tout s’est bien passé, merci les jeunes pour ce coup de main-S- !!!

Les grandes feuilles que vous voyez à gauche ce sont les kiwis qu’ils nous avaient offert il y a déjà quelques années.

Il y a un mâle et une femelle mais il semble que l’un d’eux, je serais tentée de penser la femelle car les grosses fleurs doivent être mâles, ne fleurit pas. Donc, pas de fruits.

Peu importe, la plante est superbe et nous pouvons pratiquement voir les lianes s’allonger à vue d’œil ! Elles s’étaient enroulées dans la branche du chêne que Michel a coupée tout en supprimant beaucoup des tentacules du Kiwi et déjà ce dernier est en train d’envahir l’aubépine qui est en face ! Je suis toujours émerveillée, voire angoissée de la force silencieuse des plantes.

Sur cette petite tranche de …vacances… si l’on peut dire vu le travail exécuté en ce mois passé, je vous laisse à l’ombre de vos tonnelles et parasols car il faut à nouveau TRES chaud !

Avec toutes mes amitiés enthousiastes !

LN

Bonjour, bonjour !

J’espère que vous allez tous bien, cette trêve plus fraîche nous aura reposés et bientôt nous allons tous réclamer que le soleil revienne !!!

Une petite promenade en Forêt hier, temps couvert pas trop chaud, et quelques girolles à rapporter, merci les orages !

J’ai inventé une phrase pour décrire ma façon d’être :

« Je voulais faire pousser les fleurs que j’aime, depuis j’ai appris à aimer les fleurs qui poussent… »

Et je ne suis pas perdante ! Au contraire.

Cette sagesse m’est arrivée très tôt pour l’ensemble de ma vie sans que je n’y aie aucun mérite. Mais la preuve m’est récente, c’est réellement à cause des fleurs de mon jardin :

Quand j’ai eu un bout de terrain je me suis empressée de prendre des catalogues et de choisir des fleurs à mon goût, mariant les couleurs, les hauteurs, les périodes de floraison. J’aime bien faire des plans…

Et puis j’ai préparé le terrain, amendé, fumé, mis à l’ombre ceci et au soleil cela et… Et ceci meurt sans que je sache pourquoi, et ceci envahit sans que j’en sache plus, cette plante disparait, celle–ci n’a jamais voulu fleurir etc.

Ici, en Corrèze, ce fut pire encore à cause de l’altitude, du courant d’air absorbé par l’entonnoir sur le flanc duquel nous sommes, et du terrain empoisonné par les sapins.

Mais têtue j’ai essayé tout de même ! En vain.

Depuis j’ai abandonné.

Je n’ai pas laissé la friche nous recouvrir, d’ailleurs Michel ne le supporterait pas, avec lui tout devrait être rasé, impeccable.

Mais tout en nettoyant… un peu, j’ai laissé pousser ce qui voulait bien.

Résultat…J’ai des fleurs tout de même et d’une année à l’autre je ne sais jamais quelle surprise j’aurai, car selon le printemps difficile ou non, je n’ai jamais les mêmes résultats.

Une année il y aura plein d’œillets de montagne, sauvages et protégés, puis plus aucun, puis un bouquet ailleurs…

Une autre fois ce seront les minuscules pompons de scabieuses, pale bleu mauve tout en douceur qui couvrirons la butte…

Tiens ! Des coquelicots qui avaient disparus ressortent cette année !

Nous n’avons pas eu de digitales encore cette année…

Qu’est-ce là ? Jamais vu cette plante ?

D’accord pour les bouquets ce n’est pas terrible, la plupart du temps ces fleurs sont fragiles et pas faites pour cela. Mais je n’aime pas cueillir les fleurs de toute façon. Pourquoi raccourcir leur vie pour les mettre dans un vase et en priver les passants ? Je crois bien me souvenir que le poète, Monsieur Conte, était d’accord avec cette idée !

ET du coup, au lieu de m’énerver, frustrée parce que cela ne veut pas pousser, je regarde avec curiosité, patience et reconnaissance ce que le ciel va m’offrir cette année !

Evidemment cette méthode n’est pas valable pour les légumes, encore que nous finissons par semer et accepter avec philosophie ce qui voudra bien se laisser récolter, heureusement nos survies ne dépendent plus de nos succès.

Nous avons un groseillier et un cassissier. Au début de la saison j’ai nettoyé un peu autour des pieds. Puis j’ai laissé les consoudes envahir, de toute façon les geais vont tout piller comme d’habitude…

Ce matin j’ai pris le « coupe-coupe équatorial », j’ai foncé au travers de la jungle, les bras levés au dessus de la végétation sauvage, les orties me piquant les fesses au passage, les consoudes craquant et s’écrasant dans leur jus sous mes pieds, j’ai réussi à atteindre les deux buissons cote à cote et, Ô Merveille ! Je ne leur ai jamais vu autant de fruits !!!

Je pense que la luxuriante masse de verdure autour, si haute que l’on n’y verrait pas un chat perché sur les épaule d’un de ses frères, a découragé les voleurs d’approcher !!!

Je vous souhaite à tous un beau jardin plein de fleurs et de légumes et… une grande tolérance si cela ne s’est pas passé aussi bien que vous l’auriez souhaité !

Bonne journée, mes amitiés et vive la vie !

LN

Bonjour les amis !

Une amie me demandait des nouvelles des poussins. J’ai pensé que cela pouvait aussi vous intéresser…

Les poussins sont grands, enfin surtout pour les trois premiers. Mais sur 3plus1 (et non pas 3poussent1)J'ai TROIS COQS! GRRRR .
Enfin mon espoir étant d'avoir au moins 1 poulette je pense être exaucée. Avec trois poules j'ai juste assez pour notre consommation, le problème est qu'elles s'arrêtent de pondre ENSEMBLE!

Seulement que vais-je faire de ces coqs qui vont se battre? J'en ai déjà un vieux dans un clapier et cela m'en fait quatre en tout dans deux poulaillers!!

Les mamans de poussins (une pour 3 et une pour un) se remettent à pondre. Enfin pour la deuxième je ne sais pas trop mais je pense que c'est elle et non la poulette, cela me semble un peu jeune pour cette dernière même si ses frères chantent à tue tête et non stop comme des grands!

Heureusement que nous n'avons pas de voisins!

A propos de voisins, je me félicite de ne point en avoir et pas seulement pour les coqs, mais aussi pour les chats!

Voisins ou pas nous aurions bien pu faire la bêtise d'avoir plein de chats... Qui iraient salir et détruire chez les voisins! Voyez notre embarras! Ou notre voisin avoir tant de chats qui détruisent tout chez nous! Même embarras!

Là au moins ce sont les nôtres et ne devons nous en prendre qu'à nous mêmes!

Ils ont complètement arraché la toile de la tonnelle de Michel la nuit d’avant l’orage! Un lambeau pendouille à l'intérieur! Et qui va devoir coudre des pièces ???? Bibi !!!

Mais revenons, sinon à nos moutons, du moins à nos poussins. J’ai encore appris des choses :

Le poussin encore bien bébé, la mère s’en désintéresse pour retourner vers le coq (et merci pour moi, re-pondre)

Mais si je donne des insectes, le petit lui, reste attaché à sa mère et court derrière elle et…Elle lui mange tout sous le nez sans rien lui laisser !!! Débrouille-toi tout seul !

Si les coqs adultes ne mangent pas d’insectes ni même de viande la plupart du temps et les donnent à leurs poules, par contre les adolescents les dévorent sans partager avec qui que ce soit !

Et le petit coq qui est dehors et que je couche chaque soir dans son clapier, reste autour du poulailler sans jamais s’en éloigner, faisant le tour sans cesse et surveillant vaillamment, attaquant quiconque y compris moi quand nous nous en approchons, nous piquant courageusement et aveuglement aux jambes (il a 15/20 cm au plus haut, il lui est difficile d’atteindre nos yeux !)

Le petit dernier donc me surprendrait beaucoup s’il se révélait être une poulette, trop hardi et attaché à sa mère et surtout avec une crête naissante déjà trop marquée.

Que vais-je faire de tous ces coqs ? C’est le problème à chaque fois que je veux remonter mon cheptel ! (Je ne suis pas certaine que ce mot s’adapte aux poules…)

Et chaque fois j’ai beaucoup plus de coqs que de poules.

Jouiez-vous à « poule ou coq » étant gamins ? On érafle une certaine herbe graminée en cachant le résultat et on fait deviner « poule ou coq ? » et si les grains se sont mis en gerbe haute et pointue c’est coq et si au contraire c’est tassé et court c’est poule.

Bon, pas de risque de méningite mais c’est à mettre avec « aimes-tu le beurre » des boutons d’or et autres petits jeux de campagne…

Savez-vous faire des hirondelles avec les fleurs de sainfoin ?

On retire les deux grands pétales d’une des fleurs et cela dégage deux ergots que l’on pose en équilibre sur la vrille !

Allez chers amis, je vous laisse vous exercer faire des poules et des coqs d’herbes, moins de soucis d’hébergements et de tolérance qu’avec les emplumés !!!

Bonne journée à vous et je n’oublie pas de vous parler des autres cadeaux….à suivre !....

Je vous envoie plein d’amitiés !

LN